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 Brynhildr - I never came to the walhalla

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Brynhildr - I never came to the walhalla  SSJYc
Brynhildr V. Mayër
Brynhildr V. Mayër


Messages : 13
Mort : Brûlé
Totem : Une bague avec la rune Fehu inscrite dessus

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Message  Sujet: Brynhildr - I never came to the walhalla
Brynhildr - I never came to the walhalla  Empty  Dim 26 Mai - 17:14

I've died a hundred times
They gave me this cursed leaf
NOMS : Brynhildr Valerian Mayër
PAYS : Allemagne
OCCUPATION : Professeur en histoire ancienne et ancien rat de bibliothèque
VIE : (13/07/65 — 24/02/2010) (Berlin & Stockholm)
MORT : Mort par brûlure généralisée.
ÂGES : 45 ans le jour de sa mort et physiquement 34 à Huis Clos.
ANCIENNETÉ : 3 ans.
TOTEM : Un anneau en argent sur lequel la rune ancienne Fehu est gravée.
JUGEMENT DERNIER : à remplir après passage d'un membre de l'équipe sur la fiche.
Brynhildr - I never came to the walhalla  50

Brynhildr - I never came to the walhalla  44
PLEASE ALLOW ME TO INTRODUCE MYSELF
Les histoires d'amour finissent mal, en général


E.V.O.L by Marina and the Diamonds on Grooveshark

Yeah... yeah... yeah...

Pink lipstick stains, cigarette butts
I lie in bed, I hate my guts
A day in the dark, a murdered afternoon, yeah
Oh baby, darling, how I'd love to become your suicide blonde
To lie beside my Romeo, oh what a wicked way to go


"Je t'ai tout donné, cette feuille et ce sang sont le prix de ton invincibilité. Mes Einherjars ne m'ont pas protégé de la violence de tes charmes."

It only takes two lonely people
To fuck love up and make it evil
It only takes a drop of evil
To fuck up two beautiful people
L.O.V.E. L.O.V.E.
L.O.V.E. E.V.O.L.
L.O.V.E., do you love me?
L.O.V.E., love is evil


"Les runes l'avaient prédit, elles ne mentent jamais, le Seijdr s'inquiétait et je restais muet dans le froid de l'hiver venant."

Candy is dandy, but liquor is quicker
Every kiss you give me makes me sicker
A day in the dark, a day in a cloud of gloom, yeah
I look at you, you look at me
Milk and roses, squeaky clean
Well, you're the best I've ever seen
And I'm your lying beauty queen


"Et pourtant la douceur de tes lèvres m'a éloigné de l'impartiale justesse des Nornes, l'anneau n'a su me défendre, il n'a fait que détruire, corrompre, sa nuit s'étend sur les plaines d'Asgard apportant avec lui l’Armageddon."

Every single one's got a story to tell
I'm sick to fuck up my heart
"Pourquoi m'avoir encore fait venir Chanel ?"
"Je me suis dit que, peut être, vous seriez enclin à parler ?"
"Nous avons déjà parlé de tout cela, non ? Vous savez que je n'aime pas l'évoquer."
"Je sais, mais cela ne peut que vous faire du bien."
"... Tout reste entre nous ?"
"Bien évidemment, secret professionnel."

Brynhildr regarda le siège d'un goût douteux devant lui, une de ces vieilles assises d'un autre temps en velours, placé ici de sorte à donner un air rétro à un hôtel qui méritait bien un coup de neuf. Il soupira, il avait très probablement bien mieux à faire que de traîner ici. Mais les demandes de la psychiatre se faisaient de plus en plus grandes, de plus, l'ennui lui aussi était de la partie. En temps normal il n'en aurait rien eu à faire et aurait trouvé un autre moyen de s'échapper, d'aller danser, de se remplir la panse peut être. Mais en ce moment seul la mélancolie des jours passés résonnait dans son esprit. Il soupçonnait une malédiction de la femme en face de lui l'ayant forcé à venir. Son regard devint perçant, ce siège ne lui revenait pas non, peut être avait-il la tête d'un de ces anciens collègues qu'il avait eu envie d'encastrer dans un mur ? Peut être, probable même, mais très sincèrement, il se doutait que même "ici" les gens ne se réincarnent en siège.

"Pourquoi ne pas vous asseoir et me parler de choses simples au début ? Comme votre prénom d'ailleurs, il est plutôt... Original."

Il se mit à rire, elle venait de le tirer de sa rêverie, de son dévisage d'assise. Il soupira, tripotant le fond de ses poches de ses mains. Regarda le plafond comme si ce dernier allait lui donner une sorte de réponse divine. Enfin, si le divin arrivait jusque là, ça aussi il n'en était clairement pas persuadé du tout. Il termina tout de même par poser son séant sur l'affreuse chaise, provoquant un grincement bien distinctif au passage des meubles d'ancien temps... Ou de très mauvaise qualité, mais au Huis Clos il est difficile de différencier les deux.

Il s'attendait à cette question à vrai dire, elle était commune, il avait pratiquement passé toute sa vie à justifier le choix de ses parents sur ce prénom. Une fille, lui dit-il, ils attendaient une fille, ou plutôt ils étaient sûr d'en avoir une. Voilà pourquoi ils s'étaient arrêtés sur celui-ci, Brynhildr, la grande générale Walkyrie, l'un des personnages centrales de la tragédie des Nibelungen, l'une des filles d'Odin. Il avait eu le temps d'apprendre cela par coeur. La surprise d'avoir un garçon était peut être trop mauvaise pour eux à moins que leur excentricité peu commune au peuple germanique les aient poussés à garder cet étrange prénom pour un homme et même un être humain tout court.

"Oh, vos parents étaient donc... Très portés sur le symbolisme ?"

Un nouveau rire, c'était le moins qu'on puisse dire, ils avaient des symboles partout. Mais du grand manoir où ils vivaient il n'avait retenu qu'une seule chose, il la portait aujourd'hui encore à son doigt. Un anneau en argent, sur lequel était gravé une rune, Fehu pour être précis, on lui avait remise le jour de ses quatorze ans en lui interdisant d'un jour s'en séparer. Il n'avait jamais réellement comprit pourquoi mais avait simplement obéit sans poser de questions.

"Très bien, et votre adolescence ainsi que vos études ?"

Il se bloqua un instant, un de ses tics revenant le poussant à toucher la surface du bijou sur son annulaire, elle évoquait une chose sensible, peut être un peu trop sensible. Il se mit à rire jaune, de ces sons gênés mais présents, comme pour faire croire qu'il n'en est rien. Que ce malaise qui était visible il y avait à peine cinq secondes n'était que le produit d'un lag dans la vie réelle. Mais il était déjà trop tard, les odeurs, les pensées, tout cela refaisait surface en quelques secondes. Elle n'avait pas eu besoin d'aller loin pour savoir où appuyer, c'en était relativement frustrant d'ailleurs.

"C'est là que je l'ai rencontré. J'avais... 22 ans je crois, mon adolescence avait été d'un ennui total. Rien de spécial si ce n'est ce qu'on attend d'un riche héritier si vous préférez et déjà cette idée m'ennuyai. Et c'est sur les bancs de l'université que je l'ai vu pour la première fois. J'étais déjà sorti avec des filles dans le passé mais il les éclipsa toutes au moment où ses cheveux blonds passèrent devant moi alors que je prenais place sur l'un des pupitres. Je me suis posé des centaines de questions pour finalement me rendre compte que j'étais gay, ou bien bisexuel je n'ai jamais eu l'occasion de le vérifier ensuite. Puis j'ai tout fait pour obtenir son amitié et, finalement, trois mois après, on s'embrassait."[color]

Il soupira, il préférait ne pas avoir à continuer mais après tout il avait terminé par accepter l'invitation, c'était idiot de sa part. Pendant ce temps la jeune femme en face de lui prenait des notes, avec cet air à moitié intéressé que possède les psychiatres.

"Je vois... Je peux vous demander où et dans quel contexte ? Et comment se passait votre couple ?"

Il fronça les sourcils, lui donnait-elle véritablement le choix de toute façon ? C'était assez dur à dire. Il aurait même eu tendance à dire non mais il ne la connaissait pas. Peut être n'était-elle animée que de bonnes attentions ? Cette pensée le fit sourire, il n'y croyait lui même pas, elle était un Garçon après tout. Une employée de cet "hôtel", pourquoi diable aurait-elle accepté de perdre sa mémoire juste pour devenir un médecin de l'esprit alors que cela se révélait n'être qu'un moyen de chasser l'ennui pour les habitants de Huis Clos. Car, somme toute, personne n'avait réellement besoin de ses services si l'on voulait être honnête.

"C'était moi le "joyeux-luron", le faiseur de blagues, celui incapable de sérieux etc etc. Il était mon exacte contraire. Mais après tout, les opposés s’attirent, non ? Enfin bref, c'était dans le parc dont le nom m'échappai toujours, à Berlin. On avait prit une glace, on comptait aller au cinéma, il me parlait de la résurgence des pouvoirs dans les cultures monothéistes. J'ai posé ma main sur la sienne. Il m'a regardé, je lui ai souri, il m'a répondu que mon manque de sérieux allait me conduire à ma perte et on s'est embrassés. Les années suivantes furent les plus belles de ma vie. Nous emménageâmes, ensemble."

Il évoqua le reste, la fin de ses études, les joies d'être ensemble. Puis la conversation dériva rapidement vers quelque chose de plus sombre, de moins agréable, la révélation aux parents respectifs, les cris, les pleurs. Il y eu des tentatives d'arranger tout cela, de leur faire comprendre, un dîner fut organisé. Mais deux parents sont difficiles à arrêter. Surtout quand ces derniers ont décidé que vous vous marriez qui ils souhaitent. Et ce fut la décente aux enfers. Le faire passer pour un aliéné. Utiliser son argent pour corrompre autour de soit et ainsi obtenir ce que l'on veut.

Car c'est ce qu'ils firent, le faire passer pour un fou, l'envoyer le plus loin possible sans que cela ne paraisse suspect, la Suède, c'est bien la Suède, non ? C'est froid et le taux de suicides est élevé, avec un peu de chance peut être qu'il se retirera la vie. Oh oui ça serait merveilleux ça ! Et comme ça, Brynhildr pourrait enfin épouser une femme, et obtenir les petit enfants qu'ils voulaient tant en faisant un trait sur cette trop longue escapade.

Mais non, il ne pouvait l'oublier, et, une nuit, il frappa son père de cette pomme en or, de cet objet sacré de la mythologie nordique et en profita pour s'enfuir dans la nuit. Il plaqua son travail et arriva le plus vite possible à Stockholm. Enfin il allait le retrouver, il se débrouillerait, il ne savait comment mais il était persuadé qu'avec un peu d'huile de coude il trouverait un moyen de prouver la supercherie. Alors il trouva cette force, toujours en souriant, de travailler n'importe où de postuler en tant que prof d'histoire, pour se donner une chance d'y arriver.

"Et ensuite ?"

Il marqua un silence et se reposa de tout son long sur l'assise en velours. Il laissa sa tête tomber et regarda une nouvelle fois le plafond. Du mauvais goût, du mauvais goût absolument partout, à un tel point que ça en était fichtrement impressionnant. Il la redressa et ficha son regard ambré dans celui de la jeune femme. Il lui sourit, simplement.

"Un feu, une mutinerie, un des vrais cinglés voulait partir, il était dans l'aile des troubles sentimentaux, ils avaient fait croire qu'il était déviant et m'avais forcé dans cette relation. Quelques moyens financiers, des juges homophobes et de faux témoins et tout passait comme une lettre à la poste. Un des "patients" avait voulu s'échapper, paraîtrait-il qu'il avait réussi à voler un briquet à une cuisinière. Il mit le feu à sa cellule. J'avais acheté un appartement pas très loin. J'ai vu les flammes lécher les murs et j'ai couru, je n'ai jamais couru aussi vite. Avec les pompiers qui arrivaient et les policiers je n'ai pas eu trop de mal à me faufiler dans la panique générale. Une fois dedans j'ai cherché dans toutes les pièces, même quand on me disait de fuir."

La jeune femme haussa un sourcil, venait-il d'attirer son intérêt ou bien l'avait-il dès le début ?

"Et qu'avez-vous fait ?"

Il soupira à nouveau et se gratta la pomme d'adam.

[dark=red]"J'ai terminé par arriver dans sa chambre, totalement au hasard. Mais j'avais prit le mauvais chemin. Tout brûlait et... La seule chose qui restait était un cadavre fumant. Je ne l'ai reconnu qu'à cause d'un feuille brûlée, un dessin de lui et moi qui fumait. Alors j'ai fuis, je ne savais pas à quoi penser, je ne faisais que courir sans aucune logique dans les couloirs."


"Et ?"

"J'ai eu la chance de tomber sur le bureau du directeur avant. Celui qui avait accepté son internement, l'un de ceux étant de mèche. Alors je l'ai tué."

Le stylo s'arrêta de noter sur la feuille de la psychiatre.

"Pardon ?"

Brynhildr laissa échapper un léger grognement désapprobateur, il n'aimait pas répéter cela des centaines de fois.

"Il se tenait là, à essayer de sauver ses papiers ou je ne sais quoi, il m'a vu mais ne m'a pas reconnu, pas après tout ce temps, il m'a demandé de l'aider à sauver le plus important. Il ne voyait même pas que je pleurais. Alors, j'ai vu ce coupe papier en forme de lance qui trônait sur les restes de son bureau, je l'ai prit. Et je lui ai planté dans le cou. Je l'ai planté, encore, encore, encore et encore, jusqu'à qu'il arrête de faire du bruit."

La blonde ne broncha pas, elle devait visiblement avoir entendu bien pire, mais après tout le contraire aurait été étonnant.

"Je vois, et ensuite ?"

"Et bien... J'avais prit avec moi le dessin qu'il avait fait. Et je me suis posé dans un coin, j'ai continué à le regarder alors que les flammes me mangeaient. Je ne sais pas si cela doit compter comme suicide ou pas mais c'est ainsi que je suis mort. C'est ironique non ? la vraie Brynhildr est morte en se jetant dans le feu à cause de son chagrin, je suis mort de la même manière."

Et il se mit à rire, pas de ses rires faux mais véritablement, il trouvait un profond tour du destin dans le fait d'avoir fini de la même façon qu'elle. Vraiment, il ne regrettai rien, absolument rien, peut être que la générale Walkyrie l'avait inspiré, tout compte fait.

"Bien, bien, ce fut intéressant, j'espère vous revoir."
"Ce n'est pas contre vous, ma dame, mais je ne l'espère pas."

Il embrassa la main de la femme en souriant, comme si elle était une princesse et s'en alla doucement, les mains dans les poches. Après tout, il n'avait rien perdu de sa bonne humeur tout de même.

When we meet on the other side
Two lonely people, an evil shipping
A vrai dire au Huis Clos Brynhildr est probablement l'une des personnes les plus tranquilles, d'un naturel relativement calme et positif il n'a pas vu en quoi sa mort serait une raison de ne pas profiter de cette non-vie pour s'amuser un petit peu, non ? Ainsi il est de très loin l'une des personnes les moins préoccupées par ce qu'il se passera par la suite. Il est fainéant, il n'aime pas bouger sans une raison nécessaire de le faire. Néanmoins, on pourrait le voir comme une forme de pragmatisme plutôt que de le sentir comme un homme las. Il n'est pas forcément fan de sport mais en fait régulièrement, tout comme il est tout à fait capable de danser des heures durant. Il faut juste que cela lui plaise en fait.

Car Brynhildr n'est ni plus ni moins qu'un dandy profitant des choses comme elles viennent. Il ne s'en fait véritablement pas pour grand chose, presque du "je m'enfoutisme" il continue à avancer jusqu'à rencontrer un obstacle, qu'il contournera de la façon la plus logique pour lui possible. Adepte des mauvaises blagues il est régulièrement prit sur le fait de jeux de mots mauvais et peu amusant sauf pour ceux qui sont un public facile. Il se dégage de lui un sentiment de non sérieux continuel, c'est à peine si il ne mettrai pas les pieds sur la table des personnes les plus maniaques de la propreté, le tout en ayant tout sauf le moindre remord.

Pourtant il n'en reste pas moins un homme passionné, qui, quand il se lance dans quelque chose le fait de tout son cœur, l'amour y comprit. C'est un grand romantique dans l'âme qui a énormément de mal à avouer ses sentiments pour ceux qui comptent pour lui. Il a plus tendance à simplement jouer avec eux ou les embêter pour leur faire comprendre. Cela peut être vu comme une forme de lâcheté de sa part et c'est probablement vrai. Il est aussi terriblement protecteurs et ceux qu'il prend sous son aile peuvent être sûrs de pouvoir compter sur lui à ce niveau là. Il ne supporterai pas qu'une personne importante soit blessée d'une quelconque façon. Cela le pousse donc à une jalousie parfois excessive au niveau amoureux. Pour lui ces sentiments sont uniques et doivent le rester. Il préfère ne pas entrer en relation plutôt que ne pas être sûr de la fidélité d'une personne. Cela dit ça ne l'empêche pas de s'amuser avec d'autres personnes entre temps si il sait que ni lui ni l'autre ne veut quelque chose de sérieux. Il a toujours des besoins... Humains ?

Il aide aussi pas mal les gens dans le besoin ce qui fait de lui une bonne poire par moment, il n'est pas rare qu'on abuse de sa gentillesse sans même parfois qu'il ne s'en rende compte. Il n'est après tout qu'une sorte de gros ours avec une humour à décoller le papier peint. Il sait aussi faire preuve parfois d'un cynisme et d'une ironie assez violente envers ceux avec qui il parle et si ses moments de sérieux sont plutôt rares ils sont généralement des signes peu rassurants chez lui.
My friends are gonna be there too
I'm on the highway to Hell
Comment t'es tu retrouvé dans ce huis clos ?
Quelles sont les trois choses vivantes ou inanimées que tu emmènerais sur une île déserte ?
Un livre, un homme (fufu ~), et... Un jeu de positions bizarres ? /PAN
Artiste/groupe, couleur et plat préférés :
Marina and the Diamonds, violet et tiramisu, tortilla et tarte aux pommes !
Une chanson que tu aimes en remplaçant un mot par vasectomie :
"J'étais là tu vois, lui à côté de moi on avait six ans on jouait comme des enfants au docteur, au docteur.
Il me dit, tu vois les vasectomies là sur mes bras ? Je les sens pas !
Je l'ai regardé, puis je suis parti de chez lui, si j'y suis retourné ? Plus jamais."

(Bon dieu que c'est moche comme ça, pauvre Zazie)
Une critique constructive sur Huis Clos ?
J'ai pas grand chose à dire en fait, le contexte est fun et original, peut être essayer d'avoir quelques images pour illustrer ?
Pourquoi selon-vous les « ouvertures faciles » ne sont-elles pas faciles ?
Parce que c'est un complot général du gouvernement secret des chats qui vise à, un jour contrôler le monde grâce à un "plan plus global", en effet, les humains perdant trop de temps à ouvrir ces fameuses ouvertures ils ne se doutent pas pendant ce temps que les chats leur pique leurs ordinateurs et communiquent entre eux pour arriver à élaborer ce plan diabolique. De plus, comme ils le disent "aujourd’hui les ouvertures faciles, demain le monde !". Mais je vais devoir vous laisser, j'en sais déjà trop et je crains pour ma vie.
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admin • la colombe de la paix
Colombe Davre
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Colombe Davre


Messages : 39

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Message  Sujet: Re: Brynhildr - I never came to the walhalla
Brynhildr - I never came to the walhalla  Empty  Lun 27 Mai - 19:26

Bonsoir et bienvenue à l'hôtel monsieur le nordique.
Tout est en ordre, je vais pouvoir te donner te faire part de ton jugement dernier.
héééé pile quand j'allais valider !!!!!
Moi aussi je t'aime django
xoxo



HUIS CLOS HÔTEL
Bienvenue au Huis Clos.
Nous vous remercions d'avoir choisi de séjourner parmi nous.
Votre totem et votre clef de chambre vous ont été remis. Il vous est recommandé de les garder en votre possession à tout moment. Et si vous avez besoin de quoi que ce soit de terrestre, il est désormais trop tard.

Après examen de vos actions parmi les vivants, le tribunal a pris la décision de vous damner.
Le motif de votre condamnation est que vous avez gravement blessé mademoiselle Chanel, en pensant que les services qu'elle dispense sont inutiles..
Votre châtiment sera d'être interdit de cocktail au Walhalla's Night.

Nous vous encourageons à aller à la rencontre d'autres Pensionnaires, et espérons que leur fréquentation vous sera profitable.
Le personnel de l'Hôtel demeure bien évidemment à votre disposition, et se joint à moi pour vous souhaiter une bonne éternité.

Sincèrement,
La Direction.


edit : ET JE TE VALIDE AUSSI parce que je viens de me rendre compte (il était temps) que tu avais terminé ta fiche. Quel staff de pingouins on fait ahah.
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Brynhildr - I never came to the walhalla

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