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 « Mimma, mime ta vie »

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« Mimma, mime ta vie » NJGYf
Mimma Zuccolo
Mimma Zuccolo


Messages : 11
Mort : Affamée.
Totem : Grelot.

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Message  Sujet: « Mimma, mime ta vie »
« Mimma, mime ta vie » Empty  Sam 15 Juin - 5:59

I've died a hundred times
And I go back to black

NOMS : Mimma Zuccolo.
PAYS : Italie.
OCCUPATION : Anciennement lycéenne.
VIE : (21/07/1979 — 09/10/1995)
MORT : Affamée.
ÂGES : Passée de seize à huit.
ANCIENNETÉ : Le temps c'est louche.
TOTEM : Un grelot.
JUGEMENT DERNIER : Graciée.
« Mimma, mime ta vie » 836548Mimmaicone1

« Mimma, mime ta vie » 890723Mimmaicone2
PLEASE ALLOW ME TO INTRODUCE MYSELF
I'M A MAN OF WEALTH AND TASTE

« Mimma, mime ta vie » 916122tumblrma8uqjsSGU1r48nrko1r1500

Mimma, on lui a rarement dit qu’elle était jolie. C’est si peu arrivé, qu’elle n’est plus sure que ce soit réellement arrivé. Peut être qu’elle l’a juste imaginé.

Peut être toute sa vie n’est qu’un songe.
Every single one's got a story to tell
From the queen of England to the hounds of Hell
Mimma est morte dans le placard, entourée des vêtements de sa mère.
C’est bête quand on pense que. Seule, dans un placard. Simplement oubliée là. S’est un peu oubliée elle-même. N’a pas appelée à l’aide.
Mimma, là, laissant la faim la ronger, l’odeur de sa mère jusqu’au manque d’air.
Pourquoi se battre? Mimma avait fini de se battre. Alors si la vie l’avait fini, c’était bien aussi.

Mais concrètement, comment en est-elle arrivée là?
Mimma était heureuse. Avant. Une joie insouciante. Jeune, elle savait déjà qu’elle ne devait pas trop réfléchir. Il fallait se concentrer sur les bonnes choses. L’oncle gentil, qui lui souriait toujours. Un peu trop gros, tout le monde le disait. Mais ses bras étaient chauds, son ventre mou. Mimma aimait se laisser prendre contre lui. Le voisin, très grand, tout en os, avec sa moustache imposante. Amusante. Quand il souriait, on ne voyait toujours pas ses lèvres, mais sa moustache remontait avec ses joues. Les voix dans les escaliers, des voisins qui se parlent de plusieurs étages de différences. Les moments comiques et tendres, les petites surprises de la vie en immeuble. La grande famille, parfois très proche, parfois éloignée. La vie en boomerang.
Il y a du bien, il y a du mauvais.

Sauf que Mimma refusait le mauvais. Le niait. Tout va bien, tout va bien. Quand ses parents hurlaient. Quand un objet se brisait au sol. Quand on lui reprochait telle ou telle chose. Quand son frère ainé lui disait bien d’horribles choses. Quand un chat errant avait laissé un oiseau mort sur le paillasson. Quand des hommes sales riaient ou pleuraient au sol et que sa mère tirait plus fort sur sa main pour partir au plus vite. Quand le sourire aux lèvres l’on se moquait de tous.
Rien n’allait bien.
Mais ça, Mimma ne veut pas.

Mimma.
Et ses cheveux noirs. Cheveux épais. Pas très beaux, pas très lisses. Cheveux à nœuds. Ça faisait mal quand sa mère brossait. Tout démêler, il faut tout démêler. Se laver, se pomponner. Se faire jolie. Pour les autres. Pour qu’ils se moquent de toi après. Comme ils le font à chaque fois. Des efforts, quand même. Pour plaire à ceux qui ne te plaisent pas.
Mais c’est pas grave.
Maman est comme ça. Papa ne sent souci pas. Grand frère est bizarre.
Mais petit frère est gentil.
Tonton est tout doux.
Le voisin à moustache ne se moque pas lui.
Lui. Il lui a dit. A Mimma. Qu’il l’a trouvait jolie.
C’était un jour d’enterrement. Une robe noire, des collants noirs, des chaussures noirs. Les cheveux démêlés. Mimma ne savait pas qui était mort. Elle savait juste qu’elle allait s’ennuyer. Et au passage, en sortant de la maison, quand sa mère criait la lenteur du frère et le père soupirait, il y avait le voisin en face.
Le grand frère mettait du temps à venir. La mère est entrée à nouveau pour le chercher. Mimma a avancée.
C’était la première chose qu’il ne lui ai jamais vraiment dites.
Jusque là, c’était des sourires sous moustaches, que Mimma imitait avec ses cheveux placés sur les lèvres. Des salutations distinguées. Comme un jeu, très important. Des regards complices. Des levés de chapeaux et plissages de jambes, froissement de jupes. Bonjour mademoiselle. Bonjour monsieur. Bien le bonjour. Bonsoir. À une autre fois. Des mots, des mots de grandes personnes, des mots un peu strictes. Mais réchauffés à eux deux, comme un plat de spaghetti. Plus mou, plus gentil, plus doux.
Et là. Par-dessus tout. « Vous êtes bien jolie aujourd’hui. »
Mimma dit merci. Mais si doucement. Qu’il le devine plus qu’il ne l’entend.
Il fait un geste de la main. Attend. Il retourne chez lui, veste sous le bras. Il était prêt à partir et Mimma est curieuse.
Sa mère revient bientôt. Vite. Qu’il se dépêche. Elle ne va pas pouvoir l’attendre longtemps. Les talons hauts se rapprochent. Ils sont là. Mais le frère ne l’a pas suivi. Elle s’énerve. Se plaint à son mari. Celui-là s’agace, part devant, descend les escaliers. La mère tape du pied. Le petit frère farfouille dans son nez. La mère s’en rend compte et le sermonne. On entend la voix du grand frère qui aurait préféré qu’on y aille sans lui.
Le voisin est là. Vite, vite. Pas le temps de parler, il voit. Il sait. Met quelque chose dans sa main. Mimma garde ses doigts entre les siens un instant. Quelques secondes à peine. Le regarde dans les yeux. Elle ne sait pas encore ce qu’elle vient de recevoir. Ils descendent, sa mère l’appelle. Elle part.
Dans la voiture, elle ose ouvrir ses mains.
Un grelot.
Mimma avait huit ans.

Ce simple objet avait réussi à la distraire pendant tout l’enterrement. Sa mère le maudit, car à partir de ce jour, l’on ne vit plus Mimma sans son grelot. Toujours en mains, ou dans la poche, toujours peur de le perdre, les premiers jours.
Étonnement, c’est son frère qui donna l’idée. Son grand frère. La bonne idée. Son grand frère qui n’est jamais gentil avec elle. Il lui prit son grelot, et Mimma eu peur quelques secondes qu’il ne lui vole. Mais, après lui avoir fait une natte, il y attacha le grelot. Avec un ruban. Rouge.
Depuis, l’on entendait toujours Mimma arriver. Tinter à chaque pas.

Son grand frère ne s’est plus montré gentil après ça. En grandissant il s’est simplement fait plus distant. Le seul moment où Mimma a pu se rapprocher de lui à nouveau fut quand elle lui demanda de lui apprendre à jouer de la guitare. Elle avait douze ans. Il en avait dix-sept, et en jouait depuis un moment. Elle ne pensait pas qu’il accepterait pourtant. Mais quand elle lui demanda, il leva son regard vers elle, les yeux pleins de surprise. A surement du juger, en la regardant de haut en bas, si sa sœur était sérieuse ou non. Et elle l’était.
Quand il parti de la maison, il lui laissa sa guitare.

Mais ça ne changea rien. Mimma avait beau se nourrir des belles choses, des souvenirs dans le grelot et la guitare. Personne ne la regardait sinon. On lui disait toujours que ses cheveux n’étaient pas beaux. Surtout les garçons à l’école. Et ses parents se disputaient toujours. Et il y avait des guerres, des conflits, des gens qui mourraient partout dans le monde. Et dans leur entourage. Comme le voisin à moustache. Qu’on a retrouvé mort chez lui. Personne n’a jamais dit de quoi. Mimma a juste su que pendant plus d’une semaine son corps mort était allongé dans la cuisine et personne n’était venu le voir.

Mais Mimma ne devait pas y penser. Elle devait rester concentrée sur ses souvenirs. Sur ses bonjours, sur ses sourires-moustaches, sur les façons distinguées qu‘ils avaient, leur jeu très sérieux. Le grelot.
Grelot qu’elle faillit perdre un jour. Et c’était la fin du monde.
Sa mère avait perdu des bijoux et hurlait. Son père, sa montre. Mais elle s’en fichait. Son grelot comptait plus que tout ça. Si elle avait fait plus attention elle n’aurait pas paniquée ainsi. Si elle avait remarquée que son plus jeune frère manquait d’attention. Une attention dont-ils manquaient tous les trois, que leurs parents ne leur avait jamais suffisamment donné. Mais lui, plus que tous.
Et lui, le plus jeune, n’avait rien trouvé de mieux que de voler pour occuper son temps.
Jusqu’à ce qu’il prenne tout ce qui brille, ce qui captive son regard. Partout, tout le temps. Jusqu’à ce que ça devienne une manie.

Quand il fut découvert, il fut sévèrement grondé. Et Mimma était restée là, bouche bée. Non, décidément, tout allait mal. Les yeux de son frère n’avaient pas de larmes mais étaient tristes. Ils étaient seuls. Cyclope. Son frère était un cyclope. Son frère était tout seul.
Et elle était toute seule aussi.
Toute seule avec sa guitare, toute seule avec son grelot. Toute seule avec ses souvenirs.
Souvenirs qu’elle voulait joyeux, pour se réconforter. Pour oublier qu’à part pour les fêtes quand elle retrouvait son oncle, qu’à part certains matins sur le palier avec le voisin, qu’à part pour quelques cours de guitare avec le frère ainé, elle était toujours seule. Seule, cyclope elle aussi. Cyclope qui ne voit que ce qui l’arrange.

Elle n’osa rien dire à son frère cambrioleur. Ils ne se parlèrent plus jamais. Elle ne plongea plus jamais son unique œil dans cet autre unique œil. Alors qu’ensemble ils auraient fait une paire d’yeux. Ils avaient les mêmes, la même couleur. Alors pourquoi pas?
Parce que. Non.
Non, Mimma s’en voulait.
Et Mimma allait mal.

Quand sa douce couverture, quand son cache-œil, ures disparus, elle ne peut plus rien faire d’autre que d’aller mal. Le tintement de son grelot, le son de sa guitare. Son, sa, qui n’a jamais été à elle en premier lieu. Objets appartenant à des personnes qu’elle ne pouvait même plus voir. Des personnes avec qui elle n’a pu passer autant de temps que voulu.

Le temps.
Elle n’en voulait plus.

Elle le laissa passer, filer, s’évader comme il le souhaitait. Sans le regarder, sans le remarquer, sans le voir disparaitre. Sans vraiment se voir grandir. Ni les autres vieillir. Ni les choses changer. Toujours aveugle. Toujours.

Mimma.
Seize-ans.
Ses cousines qui étaient venues jouer.
Seules toutes les trois.
Elles jouaient à cache-cache.
Et surement que les petites en ont eu marre.
Surement qu’elles sont rentrées chez elle, disant qu’on s’ennui avec la cousine Mimma.
Surement que leurs parents n’étaient pas content, qu’ils avaient pensés que Mimma était une irresponsable.
Surement que Mimma avait oubliée que, tiens, c’est vrai, papa et maman ne seront pas la pendant plusieurs jours. Son frère parti chez un copain.
Surement que Mimma n’a pas vraiment vu le temps passer. Dans le noir du placard. Toujours cachée. N’attendant pas vraiment qu’on la trouve. Pas vraiment inquiète. Pas intéressée.

Mimma. Seize ans.
C’était une fille qu’on ne remarquait pas trop, si ce n’est pour son pas de grelot. Si ce n’est pour son apparence qui ne va pas avec sa guitare. Si ce n’est pour les moqueries qu’on faisait d’elle.
On en parla autrement. Pendant un temps. La fille qui s’est laissée mourir de faim dans le placard. La barjot du coin.
Puis on l’a oubliée.
Parce qu’elle ne fait pas parti des jolies choses dont on aime se souvenir.
When we meet on the other side
Will you recognize me then
Après l’obscurité du placard, une soudaine lumière. Mimma avait l’impression d’avoir dormi pendant très longtemps, et se sentait fatiguée. Elle accepta sa clé sans se poser de question. Resta un moment sur place, les yeux mi-clos. Les frottant quelques fois, à s’en faire mal. Aucune idée sur l’endroit où elle était. Trop de lumière pour y voir clairement.

Plus tard elle se réveilla complètement, mais le temps qu’elle a mis à réaliser et à bien comprendre ce qui arrivait n’est pas tout à fait sur.
La première chose qu’elle remarqua vraiment fut son grelot attaché à ses cheveux. Sans ruban. Comme une extension à ses mèches noires. Son tintement semblait différent aussi, sans qu’elle ne puisse dire d’où lui venait ce sentiment.

Mimma prit son temps. Maintenant qu’elle ne fait tout à fait plus parti des gens pressés qui courent après le temps.
Un hôtel. Et elle est morte, et tout le monde y est mort. Et tout le monde semble si jeune et… Vivant. Ça ne l’a pas vraiment choquée. Surprise, à peine. Elle s’est vite fait à ce détail. S’habituait.

Surtout du fait qu’elle avait autre chose à pour l‘occuper. Son corps à elle. Mimma qui avait seize ans, retournée à l’âge de huit. Mais pas comme quand elle avait huit ans. À cette époque ses cheveux étaient longs, volonté de sa mère. Ici, ils sont mis-longs, ne passant pas les épaules, comme à sa mort. Et ses vêtements non jamais étés les siens. Comme ce grelot après tout.

Mimma.
Petite Mimma.
Avec sa petite voix qui s’étrangle quand elle ne sait pas quoi dire, quoi faire.
Mimma qui n’a rien contre cet endroit mais ne sait tout simplement pas ce qu’elle est sensée y faire.
Petite fille, avec son grelot aux cheveux, ne peut plus passer inaperçu. Il atteste sa présence. Tous, Mimma est là. C’est elle, la voilà. Regardez, elle passe.
C’est elle mais qu’a-t-elle fait de spécial? Quand elle l’a apprit. Graciée. Pour son voisin. Son voisin à moustache, à qui elle a dit si peu de choses, avec qui elle a passée si peu de temps. Parfois, elle y pense. Et se demande comment c’est possible. Elle n’a rien fait pour lui. C’est lui qui lui a donné ce grelot. Et elle. Elle ne lui a rien offert. Elle ne lui a jamais dit qu’il avait une très belle moustache quand lui a sorti ces si gentils mots. Vraiment. Mimma ne le mérite pas. Elle ne peut que se sentir soulagée d’avoir toujours ce grelot, seul objet qui lui reste. Plus qu’un objet. Sa vie.
Elle est morte. Et elle trimballe près de son oreille. Un grelot qui n’étincelle pas, âgé de souvenirs.

Si elle a été une bonne enfant, elle ne sait pas. Se sent coupable de beaucoup de choses.
Mais tout ça, c’est derrière, pas vrai? C’est passé, on n’en parle plus. Ou faut-il en parler?
Voilà son seul élément de panique dans cet hôtel tout de même étrange.

Mimma, dans son corps de petite fille. Un peu embêtée, qui ne sait pas où aller. Ne veut surtout pas vous déranger. Excusez le grelot, il semble qu’il aime chanter. Si elle fredonne, c’est pour l’accompagner. Ses doigts qu’elle crispent, l’habitude d’une guitare.
Mimma dans ses vêtements si amples, ses manches qu’elle doit toujours remonter. Qui s’affaissent, qu’elle doit remonter encore. Un autre geste qui se répète; celui de replacer ses mèches derrière l’oreille.
Mimma qui vous souris. Qui essaie du moins. Il semblerait qu’elle ai perdu l’habitude. Mais ça va revenir. Bien sur. Mimma pas sure d’elle, mais qui va. Sans soucis de temps, sans soucis de lieux.
Simplement le soucis des gens.
Oui, les gens.
Elle aimerait faire sa place, avoir pour elle-même l’impression de vraiment faire parti de cet endroit. De le mériter. Et si ça sonne un peu niai, tant pis, mais. Elle aimerait être utile. Servir aux autres. Sentir qu’elle peut aider quelqu’un. Mais le peut-elle, en fait?

Mimma maintenant, elle a seize ans ou huit ans? Elle ne sait plus. Un peu des deux. Un peu bébé et mémé à la fois. Et ça lui va. Peu importe. Elle souris. Peu à peu.

Oh, tu as remarqué? Elle a une façon différente de dire grelot. C’est dur à expliquer. Mais c’est presque comme s’il voulait dire autre chose dans sa bouche. Comme si le mot même tintait.
Amusant.
My friends are gonna be there too
I'm on the highway to Hell

Comment t'es tu retrouvé dans ce huis clos ? Eh bien, je suis mort j'imagine.
Quelles sont les trois choses vivantes ou inanimées que tu emmènerais sur une île déserte ? Une peluche, de quoi dessiner, disons une feuille un crayon. Puis je me laisserai mourir sur le sable.
Artiste/groupe, couleur et plat préférés : Trop. Vert. Oeuf à la coque.
Une chanson que tu aimes en remplaçant un mot par vasectomie : La femme de la vasectomie.
Une critique constructive sur Huis Clos ? Au secours!
Pourquoi selon-vous les « ouvertures faciles » ne sont-elles pas faciles ? Parce que je suis faible.
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admin • le loup des steppes
Doctor Martens
admin • le loup des steppes

Doctor Martens


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Mort : 1924, Madrid, asphyxie.
Fonction : médecin (ah bon)

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Message  Sujet: Re: « Mimma, mime ta vie »
« Mimma, mime ta vie » Empty  Sam 15 Juin - 7:56

Bonjour et bienvenue au Huis Clos Mimma !
Je comptais laisser le jugement dernier à quelqu'un de plus compétent que moi, mais pour une fois, mesdames et messieurs, j'ai eu une idée.
Je te rappelle que tu as sept jours pour écrire la dernière partie !

HUIS CLOS HÔTEL
Bienvenue au Huis Clos.
Nous vous remercions d'avoir choisi de séjourner parmi nous.
Votre totem et votre clef de chambre vous ont été remis. Il vous est recommandé de les garder en votre possession à tout moment. Et si vous avez besoin de quoi que ce soit de terrestre, il est désormais trop tard.

Après examen de vos actions parmi les vivants, le tribunal a pris la décision de vous gracier.
La raison de votre amnistie est que la vie de l'homme à moustache a été un peu plus douce grâce à vous.
En guise de récompense, le Huis Clos vous accorde l'amplification du grelot : dans chaque lieu, bondé ou non, chacun entendra distinctement le tintement.

Nous vous encourageons à aller à la rencontre d'autres Pensionnaires, et espérons que leur fréquentation vous sera profitable.
Le personnel de l'Hôtel demeure bien évidemment à votre disposition, et se joint à moi pour vous souhaiter une bonne éternité.

Sincèrement,
La Direction.
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« Mimma, mime ta vie » NJGYf
Mimma Zuccolo
Mimma Zuccolo


Messages : 11
Mort : Affamée.
Totem : Grelot.

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Message  Sujet: Re: « Mimma, mime ta vie »
« Mimma, mime ta vie » Empty  Sam 15 Juin - 8:48

Maintenant... Il me semble avoir fini ma fiche!
A vous de voir et de me dire.

(merci aussi pour ce jugement)
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Brandon Ehasz
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Brandon Ehasz


Messages : 113
Mort : Vieillesse.

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Message  Sujet: Re: « Mimma, mime ta vie »
« Mimma, mime ta vie » Empty  Dim 23 Juin - 15:16

Et tout est parfait, je te valide sans plus attendre.
N'oublie pas d'aller recenser ton avatar et ton totem !

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Message  Sujet: Re: « Mimma, mime ta vie »
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