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 Le Théorêve ▬

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Le Théorêve ▬ NJGYf
Ambroise Parnasse
Ambroise Parnasse


Messages : 2
Mort : Toi-même.
Totem : Long et épais (un stylo plume).

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Message  Sujet: Le Théorêve ▬
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Ambroise Parnasse

La mort est la tiare de la gloire

NOM : Ambroise Wilhelm Catilina Parnasse
PAYS : France.
OCCUPATION : artiste plasticien, poète et trafiquant d'armes.
VIE : du 8 juin 1980 au 19 octobre 2004, né à Paris, mort à Paris.
MORT : suicide. Il s'est enfoncé la plume de son stylo dans la gorge, très profondément. Et l'y a laissé.
ÂGE : vingt-quatre ans.
ANCIENNETÉ : trois ans.
TOTEM : le stylo qui l'a tué.
JUGEMENT DERNIER : SURPRISE !
Le Théorêve ▬ Ambroi11

Le Théorêve ▬ Ambroi15

Abyssus abyssum invocat

Son Eminence





« Qui vit de combattre un ennemi a tout intérêt de le laisser en vie. »

Humain, trop humain, Friedrich Nietzsche


Cavalcades

Tout sursoit




« Ambroise ? »

Aussi abstruses qu’à Hélios paraissent vains les efforts de l’adverse sélénienne, les ambitions qui motivent ces pauvres hères à se vêtir des oripeaux de la raison, pendus comme à leurs lèvres leur vie émétiques, font une guerre farouche à mon esprit qui, en dépit de tous les défis qu’il a relevés jusqu’aux extravagances qu’on dit semences d’art, n’en peut extraire l’essence. Le génie entend pourquoi il est en avance : il ne comprend pas pourquoi le vulgum plecus est en retard. Il est en retard sur la compréhension du retard de ses pairs, qu’ils seront plus prompts à comprendre, puisqu’ils le corrigeront. Mais ils seront alors derechef en retard sur le génie, car le vrai génie n’attend pas, il continue d’avancer toujours d’une course uniforme ainsi qu’un fléau divin qui tranche les espaces vides et infinis d’un bord à l’autre de l’éternité. Toujours lumineux, un œil vaste comme le sont les galaxies, et qui en son centre, dans sa béance avide qui répand l’obscurité brille pourtant de mille soleils, peut aveugler tous les phares cosmiques (que les aérolithes furent plus précoces que les marins à prendre pour guides), il chavire quand à sa mort il s’éteint et que sa rivale nocturne, qui se prostitue jusque dans les cieux clairs qu’il éclaire, lui survit. Le disque solaire sera un gouffre avant que la lune ne soit dispersée comme Penthée ; tu prendras mon thyrse pour devenir mon Bromios, mon amour. L’esprit cède avant la chair. On est en soi comme un mort dans un tombeau avant que d’être une charogne dans la terre ; la démence précède le trépas, et guette même les rois. Pareil au soleil, j’illumine et pareils à la lune, les artisans du commerce qui les premiers trouvent en la cécité les laies nouvelles que j’ai déflorées s’en improviseront les lais en s’en prétendant les prophètes, m’éclipsant et pervertissant toute la noblesse dont j’aurai investi mon art pour s’en réclamer patriarches sans en rien comprendre. Je mourrai le premier, et la nuit lunaire demeurera. C’est alors que surviendra mon triomphe, car liés aux ténèbres les hommes ignares trouveront dans leur mémoire la lueur qu’ils auront manquée et pleureront la remembrance de ma lumière qu’avec le plus fervent espoir ils ne reverront jamais. Incapables de voir ma lumière. Incapables de voir la lune plongée par son arrogance dans la nuit. Gobée par celle qu’elle croyait sa fille, mais nul ne peut se rendre monarque de la fatalité.

Putain, mort, et des milliards d’enfants de cette race de copistes imbéciles à supporter.

« Ambroise ? Qu’y a-t-il ?
- Je pourfends les rémanences d’intégrité que quelques humains affichent alors qu’ils ne la tirent que de ceux qu’ils ont, injurieusement, articulai-je avec une manie chi-rur-gi-cale, spoliés. Je construis ma fable. Je conçois mon exutoire, et demain je pars. »


*
**


Point embarrassé d’éthique, qui n’est que l’artifice des faibles inaptes à se forger une volonté pour lutter et qui délèguent à autrui, menaçant par le prisme de leurs élans paranoïaques, le devoir d’exiger de lui-même plus que de l’indifférence, de la bienveillance, un sentiment étrange de compassion que vulgarise la distance, mais qui des esclandres que la morale empêche de manifester physiquement conserve la condescendance, Ambroise a été l’un des êtres les plus innocents que le monde ait porté. Si le mal n’existait pas, non plus que le bien, pour lui, alors il n’était rien qu’il pût faire de criminel et il fut criminel.

Las ! une odyssée sans Ithaque.


*
**


Ce soir, je meurs.

Il est vingt-trois heures quand se dressent sur les strapontins les vauriens de la bourgeoisie parisienne pour applaudir, tendus par ce vacarme wagnérien de trois heures qui les meut vers le ciel alors que le ciel s’installe et subrepticement, sans que celui-ci ne survive un instant à la mort de l’écho des cordes, ils font la claque devant l’orchestre ravi et le corps de ballet enlevé à sa propre contenance par cet enthousiasme. Tu te lèves, non pour applaudir, mais pour partir. L’exubérance de ces célébrations ne t’intéresse pas.

Du bourdonnement du Ring des Nibelungen, tu rentres chez toi te perdre entre quelques pages de Blake et le défi opalin de ton carnet, remuant ci et là entre les mots et ton lit où ni les premiers ne t’endorme, ni le second ne t’inspire et serf de ton insomnie tu erres alors sur les grands boulevards quand, après un temps qui te parut contenir en l’espace d’un sablier le déploiement de toute l’œuvre d’un fantoche chrétien, tu perçois dans une rue la foule qui s’agite devant les portes noires que tu connais bien. Tu t’insinues dans cette plèbe que l’homme qui garde ce portique de Kephas t’invite à couper, et t’engloutit dans ce dédale d’exultation subterrestre.

Les corps qui se tordent strangulent les souterrains d’une chaleur fantastique et le stroboscope de lumière noire révèle des ectoplasmes que leurs pas font valser entre les squelettes, ici un buste blanc luit, celui d’un condamné à mort, et là des traits marquent les contours du visage de ces goules. C’est leurs os qui s’effritent qui composent cet opéra de la nuit des temps.

Un garçon, il a ton âge, et le visage de ces beautés qui transcendent les règnes, ont des ères l’immanence des religions, adoratrices d’idoles qui se métamorphosent mais qui ne se font que prison neuve pour une âme ancienne. Il a son corps collé contre le tien. Octave. Il est beau. Il te parle dans l’oreille, il te parle dans le cou, il te parle entre tes lèvres, et dans ton œsophage souffle son chant vénéneux. Tu t’en gorges.

Les lampadaires sont les bouées des cabotins qui font naufrage dans l’ivresse. La porte, vite. tic Le sépulcre de l’enfance point. Tu tac vas coucher la tendresse dans ta soie tic, sur laquelle tu rabattras ton drap tac qui deviendra son suaire. Votre violence tic vous allonge. Tu longes son désir tac, élonges sa patience. La vue te tic quitte. Tu découvres la couleur absolue tac. Tu découvres son absence, et l’empreinte tic de sa souvenance. Il soupire. Tu tac soupires. Tout va de mal en pis dans tic cette pureté dont tu te fais l’assassin tac. J’ai mal tic, tu m’achèves tac. tic Vous tac hurlez tic. tac Je suis mort TIC. L’enfance est un paradis que le feu de la volupté consume à jamais.

Octave… Octave… Octave…


*
**


« C’t’à cause d’un connard que j’suis ici. Faut dire, j’ai pas été très réglo, d’accord, mais y a quand même d’autres moyens de régler ses problèmes que de cette façon. Surtout que j’ai l’air de quoi, moi ? « Tué d’un coup de fourchette ». Plus con, tu meurs. Enfin, vous m’avez compris. Merci, mais sur un C.V., on a vu mieux : tué dans un braquage par les keufs qu’ont pas trop aimé son agressivité, massacré à coup de battes par ses créanciers, bouffé par les chiens du chef du gang adverse, retrouvé suspendu à un croc de boucher, mort pour un dieu, mort pour une cause, pour la révolution si ça vous tente la politique, ou si ça vous tente pas la révolution pour le pouvoir, c’est pareil on prend le pouvoir à quelqu’un dans les deux cas, et on peut toujours faire comme si la politique, c’tait not’ dada !

Un type complètement cinglé a surgi y a trois ans à peine sur le commerce. Une espèce de pédale comme y a qu’les villes avec des grosses queues en fer pour monument qui peuvent en faire. Sérieux, ce type est dangereux. Au début, avec les potes, on se disait que c’tait un débutant qui tiendrait pas longtemps, mais c’t’enflure nous a tous baisés proprement. On tenait une affaire tranquille avec des mecs de ma banlieue, un trafic d’armes et d’stups, ça nous donnait une vie pleine d’épreuves.

Y a trois ans, ce gamin de vingt ans à peine, Ambroise, est arrivé avec son pote Octave et ont décidé de s’imposer dans le milieu. Y z’avaient peu d’moyens, y connaissaient personne, mais quand les types du milieu ont vu qu’y s’débrouillaient mieux qu’tout l’monde avec pas de moyens, y s’sont liés à eux. Y f’saient du crime une entreprise. Leur délire, c’tait pas trop ça, mais y disaient qu’ça les « hissait à un acmé de la conscience et de la jouissance de la liberté ». Quand Ambroise r’gardait quelqu’un, on savait jamais si c’était pour l’tabasser ou l’féliciter, et quand y r’gardait l’horizon, on aurait pu r’garder dans la même direction, on n’aurait pas vu la même chose. C’tait ça qui f’sait sa force. Y fascinait, pa’c’qu’il était pas pareil, y voyait un aut’ monde et pour lui c’tait pas du crime c’qu’on f’sait.

Leur truc, à Ambroise et Octave, c’tait l’art. Y faisaient pas de la contrebande, y l’volaient pas, y voulaient le créer. J’avais jamais vu Ambroise tuer personne, mais y savait qu’avec les armes qu’y vendait, il avait pas mal de sang sur les mains. J’lui ai d’mandé un jour pourquoi il avait décidé de vendre des armes illégalement au lieu d’monter une entreprise, il aurait été riche et pas inquiété par la justice. Y m’a alors expliqué les deux choses qui l’énervaient dans la vie, 1. « les ennemis de l’art contemporain et la masse illustre dans son admiration de la médiocrité de firmes américaines » 2. « les concepteurs du mythe de la morale qui ne l’ont pas prise pour la défense des faibles mais la justification de leurs mauvaises actions ». Pour ces derniers, il était pas moral d’vendre des armes, mais c’tait plus moral que d’les vendre illégalement. Ambroise, y trouvait qu’c’était des mensonges, qu’c’était des types hypocrites.

Avec les potes, on n’aimait pas trop l’pouvoir qu’y gagnait. Y s’faisait déjà respecter alors qu’il était dans l’commerce depuis pas beaucoup d’temps. Puis il a commencé à déconner. Y s’est mis en tête de tuer les gars qu’il estimait « nocifs pour l’art », des gens qui « médisaient » ou ceux qui « ordonnaient qu’on médise ». Il s’est mis à tuer des gens parce qu’ils aimaient pas l’art ou qui l’comprenaient pas. Et ensuite y s’est dit qu’si y faisait ça, y faisait une hiérarchie, donc qu’y mettait d’la morale alors qu’y niait l’existence de la morale. Y s’est mis à tuer au hasard. Moi. »


*
**


ta mère
ta sœur
toutes
aucune
ne m’intéresse
et ne peut payer tes crimes

Si je vous dis que la vie est une boucle, vous vous figurerez au pire un cercle, au mieux une ligne courbée. Quand on conçoit la vie comme une boucle, on conçoit un circuit fermé. Point de ligne droite. D’indénombrables dépressions, à l’image de la vie une courbe dont la ligne est aussi accidentée que l’électrocardiogramme d’un homme au cœur puissant. Des turgescences et des chutes, et toujours le même mouvement, pourvu que cela ne s’achève point, attendu que la vie est une boucle dont le nœud se tisse partout et n’est nulle part. Cela me distingue de vous.

On ne choisit pas de naître, on ne choisit pas de mourir.
On est l’absent du tribunal qui décide de la sentence. L’arbitre de notre genèse déclare par contumace l’heure de notre venue au monde. Je suis l’arbitre qui déclare par contumace l’heure de votre départ.


*
**


Tout ce temps les yeux fermés, Octave n’avait pas bougé.

Quand soudain je sens cette verge de fer sur ma tempe et qu’avec mon index, qui s’y enroule ainsi que la langue gourmande d’une putain en laquelle s’incarnent tous les vices, animant mon doigt de toute la pudeur d’une contrition hypocrite, illustrant par mon geste le triomphe suprême de ma vacuité, ma gloire fatiguée d’elle-même qui n’a plus pour seule étape que de se couronner de lauriers olympiques et de verser son corps dans le nectar, mon hybris tendu dans le canon de cet outil salvateur, je rouvre mes yeux et ; non. Je bouge. Je me précipite.

Ultime entreprise : un encrier carmin. Ecrire un beau récit. Un beau poème. Composer une belle symphonie. Préparer les beaux traits d’un beau tableau.

L’instrument ordinaire est une plume Mont-Blanc en acier inoxydable. L’officier du crime est le genre humain.

Pointant ma gorge, je me demande pourquoi on ne condamne pas tous les humains à mort alors qu’ils sont, tous, coupables de la mort de ceux qui se suicident.

Serrant mon poing, je me demande qui condamner pour celui qui se suicide sans prétexte.

De toute ma force, j’abats la plume sur ma

« Et ma grande épopée ? »


Narcisse est l'amour éthéré

Ne demeurent que ceux qui veulent

Au lieu d’un catastérisme, c’est d’une catabase que je souffre. Au terme de mon acte qui devait me hâter dans le néant et qui pour le prix d’une éternité ne m’infligea que l’auguste martyr d’une agonie, torture messianique de l’Ecriture dont je suis seul architecte, je découvris ces lieues qui, entre leurs clôtures, paraissent infinies.

Tout a changé. Alors que je croyais que les destinées courroucées s’étaient ingéniées à me persécuter de la compagnie insoutenable de milliers de crevures ignares, je me heurtai à la stupeur quand se dévoilèrent à mes regards toutes ces gens singulières. Il n’était plus question d’ennui, mais il n’était pas question de tort non plus quant à ma ferme croyance de jadis en mon incroyance crasse : ce lieu n’existe pas, je ne suis pas mort, tout n’est qu’une allégorie. Je suis demeuré le même monstre androcéphale allergique aux thymies abouliques et à la pusillanimité des mécréants qui s’inventent d’autres divinités que celles de la terre et de la chair.

Profondément lunatique, tant le temps se dilate (ainsi que la bouche d’airain des amoureux londoniens) souvent dans l’introspection, car en ma pensée le temps est immobile cependant qu’en-dehors les substrats de matière l’acculent encore vers la modernité, parfois dans l’amusement quand quelque énergumène à la psyché comme la mienne légendaire m’accorde son esprit que je lui cède aussi. Les passions sont mes reines, et la violence m’égare sans être muselée, car s’il n’est plus de corps dans cette réalité, pourquoi s’abstiendrait-on de délier la meute de ses pulsions ? Je déchaine les bucéphales du seuil de la raison. Mais l’absence de mort dans ce lieu de morts tempère ma violence, car ne tirant point de plaisir ni dans la souffrance ni dans la peur d’autrui, il n’est plus rien qu’elle puisse m’apporter d’autre que la jouissance d’elle-même, non comme une transgression puisque l’unification des bons et des mauvais chrétiens auréole ma négation de l’existence de toute morale de vérité, mais comme l’épreuve de la liberté.

Le seul substrat qui demeure de ma vie passée est un remugle d’art prométhéen. Pour me distraire de mes propres errements, je sors de mes tribulations internes une métaphysique neuve et l’art dernier. La littérature est la vraie musique, elle est celle d’une voix qui sans modulations chante ainsi qu’une mélopée des sons et illumine le néant d’images évidentes. C’est le seul art qui peut survivre hors de la matière, car il n’a besoin de s’incarner en rien qu’en le crane d’un homme qui le désire ardemment ; il est pure pensée, et pourtant l’antagonisme de toute pensée.

Je passe mes journées dans la bibliothèque où je jouis désormais de tout ce savoir qui m'est offert, comme si l'Enfer m'avait élu pour déployer les connaissances humaines par-delà les frontières sensorielles. L'Enfer est ici un Ciel qui a su reconnaître dans mon entreprise parmi les mortels une conquête de la vérité, et j'ai bien été innocent et ai eu raison lorsque je commettais tous ce que ces hommes veules nommaient crimes.

Amen.


EROS

En quête de Thanatos

Le Théorêve ▬ Ambroi13

Le Théorêve ▬ Ambroi14
Comment t'es tu retrouvé dans ce huis clos ? : Par un endroit dont même le mot est sale.
Quelles sont les trois choses vivantes ou inanimées que tu emmènerais sur une île déserte ? Les Chants de Maldoror de Lautréamont, du papier et un stylo.
Une chanson que tu aimes en remplaçant un mot par vasectomie : Love Vasectomie de Koudlam, I love vasectomie de Woodkid ou, soyons fous, Le Sacre de la vasectomie, célèbre composition de Stravinsky !
Une critique constructive sur Huis Clos ? Je ne formule que des critiques déconstructives.
Pourquoi selon-vous les « ouvertures faciles » ne sont-elles pas faciles ? Parce que les voies du Seigneur sont impénétrables, et que je ne suis en ce qui me concerne pas un garçon facile non plus si c’est ce que vous insinuez.

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Message  Sujet: Re: Le Théorêve ▬
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Bienvenue au Huis Clos, parnassien.
(Les artistes maudits à lunettes noires, nous semblons les attirer.)

HUIS CLOS HÔTEL
Bienvenue au Huis Clos.
Nous vous remercions d'avoir choisi de séjourner parmi nous.
Votre totem et votre clef de chambre vous ont été remis. Il vous est recommandé de les garder en votre possession à tout moment. Et si vous avez besoin de quoi que ce soit de terrestre, il est désormais trop tard.

Après examen de vos actions parmi les vivants, le tribunal a pris la décision de vous gracier.
La raison de votre amnistie est votre volonté d'appliquer votre propre morale dans un monde qui n'en avait pas.
En guise de récompense, le Huis Clos vous accorde un emprunt illimité à la bibliothèque.

Nous vous encourageons à aller à la rencontre d'autres Pensionnaires, et espérons que leur fréquentation vous sera profitable.
Le personnel de l'Hôtel demeure bien évidemment à votre disposition, et se joint à moi pour vous souhaiter une bonne éternité.

Sincèrement,
La Direction.
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Message  Sujet: Re: Le Théorêve ▬
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Mm, je crois que tout est achevé.
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Message  Sujet: Re: Le Théorêve ▬
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Et je te valide donc, être cryptique et abscons.

Le Théorêve ▬ Zbbm9
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Message  Sujet: Re: Le Théorêve ▬
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