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 where were you when our hearts were bleeding • lieven

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where were you when our hearts were bleeding • lieven NJGYf
Lieven E. Rietveld
Lieven E. Rietveld


Messages : 8
Mort : Décès suite à une crise d'asthme.
Totem : Un carnet à dessin.

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Message  Sujet: where were you when our hearts were bleeding • lieven
where were you when our hearts were bleeding • lieven Empty  Mar 11 Juin - 17:22

LIEVEN E. RIETVELD

I've died a hundred times

NOMS : Rietveld, Lieven Elia.
PAYS : Pays-Bas, Néerlandais.
OCCUPATION : Simplement lycéen.
VIE : 09/11/1996 — 22/05/2013, Amsterdam.
MORT : Décès suite à une crise d'asthme.
ÂGES : 17 ans.
ANCIENNETÉ : Ça fait environ trois semaines maintenant. Il ne s'en remet toujours pas.
TOTEM : Un simple carnet à dessin, aux pages entièrement blanches.
JUGEMENT DERNIER : Gracié.
where were you when our hearts were bleeding • lieven Freakout_notpossible

where were you when our hearts were bleeding • lieven 9euU6

Please allow me to introduce myself

I'm a man of wealth and taste

where were you when our hearts were bleeding • lieven CmGdW

Lieven était déjà mort bien avant d'arriver au Huis Clos.


Every single one's got a story to tell

From the queen of England to the hounds of Hell

C'était une vie blanche et monotone.

La première chose qui lui vient à l'esprit, à Lieven, lorsqu'on lui parle de son enfance, c'est bien loin d'être une cour de récréation ou une aire de jeux.

Pour lui, il n'y avait toujours que ces murs albâtres et cette odeur de chloroforme si entêtante. Les chambres impersonnelles, les sourires artificiels▬ tout ça, il y était plus ou moins habitué. Il est né dans un hôpital d'Amsterdam, Lieven, un début novembre. Sa mère lui disait toujours qu'il n'avait pas fait beau ce jour là, et que c'était pour cette raison qu'il était comme ça; une raison comme une autre pour ne pas lui dire qu'il était albinos dès le départ. Ils ne savait pas pourquoi eux étaient normaux, et lui si différent. Il ne leur en avait pas voulu, de lui avoir menti. Il n'en voulait jamais à qui que ça soit, il en était purement incapable. Mais il s'était souvent demandé si ce n'était pas à cause de cela qu'il n'avait jamais vraiment eu d'amis.

Toujours devoir se cacher, toujours devoir se couvrir, ne jamais pouvoir rejoindre les autres dehors lorsqu'il faisait beau, parce que c'était trop dangereux. Toujours des recommandations, des ordres, de l'inquiétude acide qui transparaissait dans les mots de ses parents. Un acide qui se déversait sur lui, qui le rongeait, bout par bout, à force, qui se muait en quelque chose qui le paralysait. Lorsqu'on lui demandait, à Lieven, si il voulait venir jouer, il souriait poliment, déclinait l'invitation, et allait s'installer dans un coin de la salle de classe, entouré de feuilles blanches, crayons à la main. Ses seuls amis étaient son imagination et sa créativité, au fond. Personne avec qui jouer, après les cours; alors il se réfugiait dans ses dessins, ses créations se balançant au rythme d'une toux récurrente. Personne avec qui parler. Personne qu'il ne pouvait considérer comme un meilleur ami, une notion qui lui était un peu étrangère, que les enfants de sa classe, eux, débitaient à une fréquence hallucinante. Une solitude éreintante. Suffocante.

Suffoquer était le mot juste.

C'était un cours de sport comme les autres, en fin de matinée. Pas de partenaire avec qui s'entraîner, alors il avait commencé à courir, tout seul. Ça se passait bien, jusqu'à ce qu'il y ait ce bourdonnement, ce vague à l'âme. Quelque chose qui accélérait, au plus profond de ses entrailles. Cette douleur, cette morsure, au fond, tout au fond. Cette impression qu'on l'enchaînait, qu'on lui brisait les os, les côtes, des mains entourant sa gorge, serrant, fort, encore plus fort, pourquoi▬

Lorsqu'il rouvrit les yeux, il était entouré de machines, toutes plus bizarres les unes que les autres. Quelque chose de planté dans son bras, un masque placé sur son visage. Il avait du mal à respirer. N'arrivait plus à parler. Il ne savait pas pourquoi, ne savait pas ce qu'il faisait là. Il avait six ans. Il avait six ans et c'était une parfaite étrangère qui lui avait raconté ce qu'il s'était passé. Ce qu'elle avait appelé une crise d'asthme, un nom accolé à des mots qu'il ne comprenait pas. Elle avait reformulé en disant qu'il y avait un problème à l'intérieur de lui, quelque chose qui l'empêchait de respirer, qui le rendait malade. Il ne voulait pas être malade. Il n'avait jamais demandé à l'être. La dame essaya de le rassurer en lui expliquant que quelque chose pourrait l'aider à chasser ce qui lui faisait mal. Cloîtré dans sa chambre, il bâtit un nouveau mur en se réfugiant dans son imaginaire, en trouvant une signification à chaque petit évènement. Toujours à enjoliver les choses, Lieven. C'était peut-être un peu trop, mais ça l'empêchait de penser au fait que ça faisait mal.

La source de son imagination, elle fut bien vite tarie au fil des années, lorsque ses crises devinrent de plus en plus récurrentes. C'était persistant, et ça lui semblait sans fin. Les visites à l'hôpital se faisaient de plus en plus fréquentes, tout comme les moqueries et les humiliations, au collège. Ce n'était pas de sa faute si il était comme ça, si il s'absentait fréquemment, si il était malade. Il n'y pouvait rien, au contraire. Mais les autres, eux, s'en fichaient. Il n'était pas rare qu'il rentre chez lui couvert de bleus. Mais ça, ça n'était qu'une simple formalité.

Et puis une fois, il y avait eu une exception à ce cercle vicieux qui semblait interminable. C'était une fois, à l'hôpital, pendant une visite de routine pour vérifier que tout allait bien, entre son albinisme et ses crises. Il était entré au lycée depuis quelque temps. Il s'était posé dans un coin en attendant son rendez-vous, après avoir été pourchassé par une des patientes. Une albinos comme lui visiblement, à qui il avait probablement accidentellement marché sur le pied. Il avait laissé son esprit dériver, partir au loin, encore secoué par la poursuite, encore effrayé par la folle furieuse qui s'en était pris à lui, encore ébranlé par l'effort qu'il avait du fournir. Il commençait à avoir mal au cœur. Pas maintenant, tout sauf maintenant. Les battements s'accéléraient, tout allait vite, trop vite, tout était trop flou. Ça faisait mal, trop mal, ça le saisissait aux tripes. Englouti par la panique, il n'avait pas remarqué que quelqu'un s'était arrêté près de lui, et le regardait fixement.

Il ne s'en rappelait pas très bien; tout était allé si vite. L'autre ▬ une jeune fille aux cheveux d'ébène, à peine plus âgée que lui ▬ lui avait demandé si quelque chose n'allait pas, ce à quoi l'albino arrivait à peine à répondre, le regard perdu dans le vide, tentant de se calmer, tremblant encore. Elle aurait pu repartir, mais elle s'est assise là, à ses côtés. L'avait aidé à se calmer. Lui avait dit qu'elle était là pour voir quelqu'un. Qu'elle n'aimait pas les hôpitaux non plus. Avait patienté jusqu'à ce que le médecin sorte de sa salle, et était partie. C'était bizarre. Lieven ne s'attendait pas à ce qu'on agisse ainsi avec lui. Il ne s'attendait pas non plus à la revoir, quelques semaines plus tard, installée sur le divan de son salon. Elle s'appelait Lilja, et était la fille d'amis de ses parents. Elle s'appelait Lilja, et venait d'être transférée à son école.
Elle s'appelait Lilja, et était sa seconde amie.
Non, sa première vraie amie.

Lilja avait toujours été quelqu'un de spécial. Il avait souvent entendu des gens dire qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas chez elle. Que malgré son attitude, ses yeux étaient froids, beaucoup trop froids. Les gens murmuraient son nom avec prudence, s'en méfiaient. Le garçon l'avait vue décocher des sourires à dissuader n'importe qui. Mais Lieven, lui, ça ne lui faisait rien. Lilja avait été la première personne à réellement s'occuper de lui, à faire attention qu'il ne se fatigue pas trop, à l'aider lorsqu'il ne comprenait pas en cours, à le défendre lorsqu'on s'en prenait à lui. A l'encourager à reprendre le dessin, qu'il avait complètement abandonné lorsqu'il était entré au collège, par peur de subir les sempiternelles moqueries. A, tout simplement, lui prouver qu'il pouvait exister. Deux vies qui s'entremêlent pour ne plus en former qu'une. C'est ce que Lieven réalisa bien vite: il n'était rien sans elle. En échange, elle lui demandait ▬ ordonnait ▬ de lui rendre quelques services. Qui, il devait admettre, l'avaient mis dans des situations délicates parfois; mais il lui était reconnaissant, tellement reconnaissant, qu'il ne pensait même pas a rechigner. Elle l'avait sauvé, d'une certaine manière. Il lui devait tout.

C'est pour ça qu'il n'avait pas compris pourquoi, quelques semaines plus tard, il avait retrouvé sa famille chez lui, accompagnée de ses propres parents, l'air grave. Il avait plu ce jour là. Il avait quitté Lilja un peu plus tôt dans l'après-midi, visite à l'hôpital oblige. Il lui avait dit qu'elle pouvait l'attendre chez lui, et elle avait accepté, en lui donnant une lettre qu'il ne devait ouvrir sous aucun prétexte tant qu'il n'était pas rentré chez lui. Il n'y avait eu aucun mot à son entrée dans la pièce. Seuls des regards baissés, sur fond de sa respiration sifflante. Encore épuisé par sa course. Il ne comprenait pas. Ça le dépassait complètement. Ses pensées ricochaient d'un extrême à l'autre: qu'est-ce qui avait pu se passer entre le dernier moment où il l'avait vue en cours, et son retour chez lui? Il s'était passé à peine quelques heures. Il tenta de balbutier quelques excuses, se justifiant autant qu'il pouvait. Sa mère comprenait qu'il n'avait rien à voir là dedans; lui apprit que c'était un suicide, sans raison apparente. Ça ne suffisait pas.

Il sortit en trombe de la maison. Lui même ne savait pas pourquoi.  Ça faisait mal, trop mal. Ses mains tremblantes se saisirent de la lettre. Sa tête commençait à tourner. Et il avait senti son cœur s'arrêter, sur le coup, en voyant l'écriture familière s'étendre sur le papier.

C'est de ta faute, Lieven.
Ça fait mal, tu sais, Lieven.
Si tu étais resté avec moi, ça ne serait jamais arrivé.
Tu avais dit que tu resterais avec moi. Toujours.
Tu es un menteur, Lieven.


Sa respiration se faisait de plus en plus saccadée, les mots ne sortaient plus - ou du moins, un à la fois. Je ne voulais pas. Je ne comprends pas. Pourquoi. Plus rien n'avait de sens, au fond de son esprit. Tout s'entremêlait, se mélangeait dans un bruit assourdissant, des halètements, tout se brouillait, tout lui paraissait lointain, la rue devant ses yeux devenait floue, les lumières aveuglantes, ça faisait mal, toujours mal, beaucoup trop mal▬

Et tout vira au noir.

Il aurait voulu autre chose.
Voir d'autres couleurs, des teintes vives▬ du bleu, peut-être, comme ses yeux. Il aurait voulu s'y noyer. Mais au final, c'est peut-être une bonne manière de terminer cela ainsi, de finir exactement comme ça a commencé.

Enlacé par du blanc.


When we meet on the other side

Will you recognize me then

Lieven. Lieven, Lieven, Lieven.
Tu n'as pas vraiment changé depuis que tu es arrivé au Huis Clos, pas vrai?▬

Ne me regarde pas comme ça, voyons. Je sais pertinemment que ça t'horripile, qu'on te dise que tu n'est plus de ce monde. Tu ne veux toujours pas y croire, pas vrai? T'es mignon, avec tes semblants d'espoirs. Tes rêves qui se noient au fond de tes yeux, tes soupirs qui s'échappent de tes lèvres. Tes illusions qui te rendent aveugle. Si je dis ça, ce n'est par plaisir de te voir chialer comme un gosse. Je suis bien loin du niveau où je trouve de la satisfaction dans ce genre de choses. Je suis bien plus haut que ça. Je plane, et toi, tu rampes. C'est méchant? Bien loin de là. C'est simplement la vérité. Ce n'est pas de ma faute si tu es terriblement naïf. Parce que c'est ça ton problème, ça l'a toujours été. Tu t'isoles, tu te barricades derrière des faux-semblants, derrière tes regards absents qui te garantissent d'être protégé du reste du monde. De tout ce qui pourrait potentiellement t'atteindre. Réveille-toi un peu, fais face à la réalité. Tu es mort, Lieven, et tu ne peux rien y faire. Pleurer n'y changera rien.

Errer constamment dans ces foutus couloirs qui te font suffoquer non plus, d'ailleurs. Tu ne comprends pas, tu ne réalises toujours pas, hein? Ce n'est pas une étape en plus: c'est bien fini. Tout est fini pour toi. Pour nous deux. Ces gens sont morts, autant que toi tu l'es. Mais la simple mention de tout ça te fait trembler. Tu t'effondres. Tu prends tes jambes à ton cou et tu t'enfuis, tu ignores, tu fais la sourde oreille. Peut-être qu'au fond, tu le sais, que tout cela est bien loin d'être un rêve, que ce n'est en rien quelque chose de passager. Mais tu refuses de te l'avouer, parce que ça te blesserait. Pourtant Lieven, tu es habitué à avoir mal, si je me rappelle bien? Je t'ai vu pleurer, de nombreuses fois. C'est comme ça qu'on s'est rencontrés, la première fois. Ce n'est pas comme si c'était bien différent, tu sais. Nier ne te mènera nulle part. Il n'y a pas de fenêtres, pas de sortie, pas d'échappatoire. Rien.

Tu sonnes creux, Liev. Tu es vide. Regarde-toi. Est-ce qu'une seule fois, tu as réellement vécu? Toujours à jouer ce rôle du gentil garçon silencieux, qui se contente de sourire, le gamin serviable et altruiste, qui ne fait que hocher à la tête à tout ce qu'on lui dit. Tu te laisses simplement porter par le courant. En aucun cas objecter ne te viendrait à l'esprit. Est-ce que tu n'en as pas assez de tout ça? Non, jamais. Jamais tu n'oserais dire le contraire. Parce que tu sais à quel point tu es inférieur à tous ceux qui croisent ta route▬ au moins, toi, tu le réalises. On pourrait t'accrocher une laisse autour du cou que ça serait la même chose. Je vais te dire une chose, Lieven: tu es un incapable. Tu es un putain de parasite, Lieven. Tu es incapable de vivre par toi-même. Toujours à t'accrocher aux autres, à vivre dans leur ombre. Il suffit qu'on te lâche la main, et tu te retrouves paralysé. On t'abandonne ne serait-ce qu'un instant, et on te retrouve tremblant et en larmes dans un coin. Seul, tu n'es rien. Absolument rien.

J'aurais aimé te dire ça avant que tu crèves, Lieven. Mais c'était tellement plus gratifiant de te voir te terrer dans ton silence, de voir cette frayeur au fond de tes prunelles, d'entendre cette voix brisée qui s'égosille, au plus profond de ton être. « Ne me laissez pas seul, ne m'abandonnez pas. » C'est ce que tu te répètes sans cesse, pas vrai? Et pourtant, en face des autres, tu fais comme si de rien n'était. Tu es faible, Liev. Trop faible. Tu n'as pas d'ego, pas de fierté. On pourrait t'enchaîner, t'humilier, te battre à mort tu ne dirais rien. Tant que tu n'es pas seul, rien de tout cela ne t'importe. Tant que tu peux t'abandonner à quelqu'un, rien ne t'importe. Tu vas vite comprendre que coexister, qu'apprendre à vivre avec les autres, c'est une véritable torture, surtout dans un endroit comme ça. Tu vas chialer, Lieven. Tu vas regretter, plus que tu ne l'aies jamais fait lorsque tu étais vivant. Mais fais-moi confiance, rien de cela n'arrivera.

Parce qu'il n'y a que moi qui puisse te marcher dessus, Lieven.


LUCA

My friends are gonna be there too.

where were you when our hearts were bleeding • lieven Zk3QIHP

where were you when our hearts were bleeding • lieven Pkmn-26_by-karnevelle
Comment t'es tu retrouvé dans ce huis clos ? J'ai été kidnappée.
Quelles sont les trois choses vivantes ou inanimées que tu emmènerais sur une île déserte ? You would like to knoooow.
Artiste/groupe, couleur et plat préférés : 30 Seconds to Mars, rouge, coleslaw.
Une chanson que tu aimes en remplaçant un mot par vasectomie : Vasectomie Actor. Je. How.
Une critique constructive sur Huis Clos ? CETTE BANNIÈRE. RAIDOU KUZUNOHA SUR LA BANNIÈRE. JOUISSANCE. JE VOUS AIME. (le forum est parfait keep it going love swag mayo)
Pourquoi selon-vous les « ouvertures faciles » ne sont-elles pas faciles ? Nous savons tous que les ouvertures faciles sont un produit du diable pour se foutre de notre gueule.

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admin • the eyes of mars
Jennifer Smith
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Jennifer Smith


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Mort : Noyade.

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Message  Sujet: Re: where were you when our hearts were bleeding • lieven
where were you when our hearts were bleeding • lieven Empty  Mar 11 Juin - 20:51

Bienvenue toi !!
crise d'asthme lieven i feel you

HUIS CLOS HÔTEL
Bienvenue au Huis Clos.
Nous vous remercions d'avoir choisi de séjourner parmi nous.
Votre totem et votre clef de chambre vous ont été remis. Il vous est recommandé de les garder en votre possession à tout moment. Et si vous avez besoin de quoi que ce soit de terrestre, il est désormais trop tard.

Après examen de vos actions parmi les vivants, le tribunal a pris la décision de vous gracier.
La raison de votre amnistie est qu'on ne tape pas sur les enfants malades.
En guise de récompense, le Huis Clos vous accorde une ventoline à paillettes.

Nous vous encourageons à aller à la rencontre d'autres Pensionnaires, et espérons que leur fréquentation vous sera profitable.
Le personnel de l'Hôtel demeure bien évidemment à votre disposition, et se joint à moi pour vous souhaiter une bonne éternité.

Sincèrement,
La Direction.
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Lieven E. Rietveld
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Totem : Un carnet à dessin.

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Message  Sujet: Re: where were you when our hearts were bleeding • lieven
where were you when our hearts were bleeding • lieven Empty  Jeu 13 Juin - 20:02

...la ventoline a paillettes
admire ce swag pur et puissant.
TASTE THE SHININESS, MOFO.

Merci chou. C'est terminé, en passant. ♥
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admin • la colombe de la paix
Colombe Davre
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Colombe Davre


Messages : 39

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Message  Sujet: Re: where were you when our hearts were bleeding • lieven
where were you when our hearts were bleeding • lieven Empty  Jeu 13 Juin - 21:02

C'est farpait, je te valide.
Ah mais mais Lieven devrait bien s'entendre avec Colombe, elle aussi elle pleure sans arrêt et est tout le temps en train de stalker les autres ahah.

 where were you when our hearts were bleeding • lieven Zbbm9
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Message  Sujet: Re: where were you when our hearts were bleeding • lieven
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where were you when our hearts were bleeding • lieven

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